C'était l'un des jolis noms de la Coupe du Monde 1998, remportée par les Bleus de Zinedine Zidane et Didier Deschamps. Ils avaient le costume de favoris mais avait été humilié par la Croatie de Davor Suker en quarts de finale (0-3) : je vous parle bien évidemment de Oliver Bierhoff, qui avait rejoint l'AS Monaco sous la forme d'un transfert libre en provenance de l'AC Milan durant l'été 2001, soit un an après ce Mondial qui avait eu lieu en France.
Oliver Bierhoff, c'est 37 buts en 70 sélections avec l'Allemagne. Je me souviens d'un puissant attaquant, redoutable de par son jeu de tête, très adroit face au but, toujours bien placé au bon endroit au bon moment... C'était surtout le héros de toute une nation, au moment où il inscrivait son doublé victorieux pour renverser la surprenante République Tchèque de Pavel Nedved en finale de l'Euro 1996 (2-1). Et cette star mondiale avait bien débarqué sur le Rocher, un grand moment pour moi en tant que gamin et déjà amoureux de ma Ligue 1.
Après avoir la chance de connaître étant tout petit, l'excellent Jürgen Klinsmann à l'AS Monaco, je voyais débarquer ce fameux Oliver Bierhoff en Principauté. Excellent durant de nombreuses saisons à l'Udinese, avec qui il terminait troisième de Serie A en 1998 lors de l'année de la Coupe du Monde en France (27 buts en 32 matchs joués dans le championnat italien), il rejoignait ensuite le grand AC Milan.
Après avoir vécu trois saisons en Lombardie (44 buts en 119 matchs), dont un dernier exercice 2000-2001 moins prolifique que les précédents avec le Milan AC (6 buts et 4 passes décisives en Serie A, 2 buts et 3 passes décisives en Ligue des Champions), Oliver Bierhoff avait accepté de signer à l'AS Monaco lors du mercato estival en 2001. Un pari intéressant pour l'ASM, mais aussi pour l'attaquant international allemand alors âgé de 33 ans, en quête d'un nouveau challenge ambitieux et à sa portée afin de maximiser ses chances de disputer le Mondial 2002.
Malheureusement pour lui, mais aussi pour le grand amoureux de la Ligue 1 que je suis, la mayonnaise n'aura jamais réellement pris entre Oliver Bierhoff et l'AS Monaco. Au total, le natif de Karlsruhe n'aura inscrit que quatre petits buts en 18 apparitions en Division 1 avec les pensionnaires du Stade Louis II.
Etant petit, je me souviens avoir tout de même eu les yeux qui brillaient au moment de le voir jouer en fin de saison lors d'un Lille - Monaco au Stade Grimonprez-Jooris, sous les ordres de Didier Deschamps et aux côtés des Porato, Givet, Marquez, Pierre-Fanfan, Farnerud, Gallardo, Nyarko, Nonda... et même Abidal, qui rejoindra le LOSC quelques mois plus tard, avant de connaître une immense carrière.
Cet AS Monaco-là avait tellement de joueurs talentueux, et pourtant les coéquipiers de Bierhoff termineront à une triste quinzième place au classement. Malgré cela, Oliver Bierhoff participera tout de même à la Coupe du Monde 2002, qui avait eu lieu au Japon et en Corée du Sud, et aura même pris part à la finale perdue face au Brésil de Ronaldo et Ronaldinho (2-0). Il quittera ensuite l'ASM un an après, dans le plus grand des calmes, pour retourner en Italie au Chievo Vérone dès l'été 2002.
Bon sang, je vous le disais : il y avait pourtant du talent dans cet effectif. Deux ans plus tard et avec quelques changements certes dans ce club, je me prenais encore plus de passion pour cette merveilleuse équipe de l'ASM, auteur d'un parcours fabuleux en Ligue des Champions... On en reparlera plus tard ! Et vous, quels souvenirs gardez-vous de Bierhoff en Principauté ?
Oliver Bierhoff, c'est 37 buts en 70 sélections avec l'Allemagne. Je me souviens d'un puissant attaquant, redoutable de par son jeu de tête, très adroit face au but, toujours bien placé au bon endroit au bon moment... C'était surtout le héros de toute une nation, au moment où il inscrivait son doublé victorieux pour renverser la surprenante République Tchèque de Pavel Nedved en finale de l'Euro 1996 (2-1). Et cette star mondiale avait bien débarqué sur le Rocher, un grand moment pour moi en tant que gamin et déjà amoureux de ma Ligue 1.
Après avoir la chance de connaître étant tout petit, l'excellent Jürgen Klinsmann à l'AS Monaco, je voyais débarquer ce fameux Oliver Bierhoff en Principauté. Excellent durant de nombreuses saisons à l'Udinese, avec qui il terminait troisième de Serie A en 1998 lors de l'année de la Coupe du Monde en France (27 buts en 32 matchs joués dans le championnat italien), il rejoignait ensuite le grand AC Milan.
Après avoir vécu trois saisons en Lombardie (44 buts en 119 matchs), dont un dernier exercice 2000-2001 moins prolifique que les précédents avec le Milan AC (6 buts et 4 passes décisives en Serie A, 2 buts et 3 passes décisives en Ligue des Champions), Oliver Bierhoff avait accepté de signer à l'AS Monaco lors du mercato estival en 2001. Un pari intéressant pour l'ASM, mais aussi pour l'attaquant international allemand alors âgé de 33 ans, en quête d'un nouveau challenge ambitieux et à sa portée afin de maximiser ses chances de disputer le Mondial 2002.
Malheureusement pour lui, mais aussi pour le grand amoureux de la Ligue 1 que je suis, la mayonnaise n'aura jamais réellement pris entre Oliver Bierhoff et l'AS Monaco. Au total, le natif de Karlsruhe n'aura inscrit que quatre petits buts en 18 apparitions en Division 1 avec les pensionnaires du Stade Louis II.
Etant petit, je me souviens avoir tout de même eu les yeux qui brillaient au moment de le voir jouer en fin de saison lors d'un Lille - Monaco au Stade Grimonprez-Jooris, sous les ordres de Didier Deschamps et aux côtés des Porato, Givet, Marquez, Pierre-Fanfan, Farnerud, Gallardo, Nyarko, Nonda... et même Abidal, qui rejoindra le LOSC quelques mois plus tard, avant de connaître une immense carrière.
Cet AS Monaco-là avait tellement de joueurs talentueux, et pourtant les coéquipiers de Bierhoff termineront à une triste quinzième place au classement. Malgré cela, Oliver Bierhoff participera tout de même à la Coupe du Monde 2002, qui avait eu lieu au Japon et en Corée du Sud, et aura même pris part à la finale perdue face au Brésil de Ronaldo et Ronaldinho (2-0). Il quittera ensuite l'ASM un an après, dans le plus grand des calmes, pour retourner en Italie au Chievo Vérone dès l'été 2002.
Bon sang, je vous le disais : il y avait pourtant du talent dans cet effectif. Deux ans plus tard et avec quelques changements certes dans ce club, je me prenais encore plus de passion pour cette merveilleuse équipe de l'ASM, auteur d'un parcours fabuleux en Ligue des Champions... On en reparlera plus tard ! Et vous, quels souvenirs gardez-vous de Bierhoff en Principauté ?
