Ce scénario n'est pas à exclure sur ce Mercato OM : et si Adrien Rabiot restait finalement à l'Olympique de Marseille ? Roberto De Zerbi a en tout cas clairement ouvert la porte à une réintégration du milieu de terrain de l'équipe de France dans le groupe marseillais.
Et ce alors que Adrien Rabiot avait été placé sur la liste des transferts par l'OM via Mehdi Benatia et Pablo Longoria, suite à sa violente altercation dans les vestiaires à Rennes avec Jonathan Rowe, qui a quant à lu été transféré à Bologne pour près de 19,5 millions d'euros.
"Pour Adrien Rabiot, je n'ai pas encore parlé à Pablo Longoria et Mehdi Benatia, mais l'espoir que j'ai, et ce n'est pas seulement par rapport à la valeur du joueur mais par rapport à la personne qu'il est. Même s'il a commis une grosse erreur, j'espère qu'il y a la possibilité de recomposer la chose, que les choses rentrent dans l'ordre. Je ne suis pas quelqu'un qui claque les portes au nez. Je ne suis pas la seule personne à décider, le club passe avant le coach. Mais Adrien Rabiot est quelqu'un de bien, je lui ai donné un conseil et j'espère qu'il le suivra. Je pense être quelqu'un de bien aussi, j'essaie de tendre la main. Je ne mets jamais de croix sur les personnes. Si je peux aider à résoudre ce problème, je suis prêt à tout. Pas pour le joueur uniquement, mais pour la personne qu'il est. Je pense que c'est important, pour le bien de tous, pas seulement footballistique mais aussi humain", a déclaré Roberto De Zerbi au sujet de l'ancien milieu international français de la Juventus Turin, peu après Marseille - Paris FC en conférence de presse.
"Les gens qui disent que l'OM voulait faire de l'argent en vendant Rabiot sont des menteurs, ceux sont des gens qui n'aiment pas l'Olympique de Marseille tout simplement. Je pense sincèrement que cette semaine, on plus souffert, Pablo Longoria, Mehdi Benatia et moi, qu'Adrien Rabiot et sa famille. Cela ne sert à rien de pointer du doigt, de trouver des coupables. Le plus important, c'est de réussir à aller de l'avant et pour le faire, parfois, c'est nécessaire de faire un pas en arrière par rapport aux décisions prises, avec humilité, avec intelligence. C'est mon avis : on est personne, on ne peut pas décider de la vie du club et d'une personne", a conclu l'entraîneur italien de l'OM par rapport au joueur formé au PSG.
Et ce alors que Adrien Rabiot avait été placé sur la liste des transferts par l'OM via Mehdi Benatia et Pablo Longoria, suite à sa violente altercation dans les vestiaires à Rennes avec Jonathan Rowe, qui a quant à lu été transféré à Bologne pour près de 19,5 millions d'euros.
"Pour Adrien Rabiot, je n'ai pas encore parlé à Pablo Longoria et Mehdi Benatia, mais l'espoir que j'ai, et ce n'est pas seulement par rapport à la valeur du joueur mais par rapport à la personne qu'il est. Même s'il a commis une grosse erreur, j'espère qu'il y a la possibilité de recomposer la chose, que les choses rentrent dans l'ordre. Je ne suis pas quelqu'un qui claque les portes au nez. Je ne suis pas la seule personne à décider, le club passe avant le coach. Mais Adrien Rabiot est quelqu'un de bien, je lui ai donné un conseil et j'espère qu'il le suivra. Je pense être quelqu'un de bien aussi, j'essaie de tendre la main. Je ne mets jamais de croix sur les personnes. Si je peux aider à résoudre ce problème, je suis prêt à tout. Pas pour le joueur uniquement, mais pour la personne qu'il est. Je pense que c'est important, pour le bien de tous, pas seulement footballistique mais aussi humain", a déclaré Roberto De Zerbi au sujet de l'ancien milieu international français de la Juventus Turin, peu après Marseille - Paris FC en conférence de presse.
"Les gens qui disent que l'OM voulait faire de l'argent en vendant Rabiot sont des menteurs, ceux sont des gens qui n'aiment pas l'Olympique de Marseille tout simplement. Je pense sincèrement que cette semaine, on plus souffert, Pablo Longoria, Mehdi Benatia et moi, qu'Adrien Rabiot et sa famille. Cela ne sert à rien de pointer du doigt, de trouver des coupables. Le plus important, c'est de réussir à aller de l'avant et pour le faire, parfois, c'est nécessaire de faire un pas en arrière par rapport aux décisions prises, avec humilité, avec intelligence. C'est mon avis : on est personne, on ne peut pas décider de la vie du club et d'une personne", a conclu l'entraîneur italien de l'OM par rapport au joueur formé au PSG.