Bien sûr il commencera très jeune à taper dans le ballon à l’école. Mais il était également attiré par le cyclisme. Dans sa famille, surtout du côté de son père, le vélo avait une grande importance. L’un de ses frères le pratiquait à un certain niveau. Mais il a été dégouté du cyclisme après avoir vu son frère revenir suite à une chute… en même temps, notre sportif pratiquait également l’athlétisme et bien sûr le football qui est le sport roi en Guadeloupe. Tout ce qu’il attendait pour Noel, c’était d’avoir un ballon de foot.
Il commence sérieusement à jouer au football à l’âge de 15 ans en catégorie cadet à la Juventus Ste ANNE. L’entraîneur, Claude FARASMANE avait déjà jugé qu’il avait les qualités requises pour jouer en équipe première. Il jouait stoppeur.
Régulièrement, durant sa carrière que tout le monde connaît, il n'hésitera pas à revenir en Guadeloupe, jouer à la plage, comme quand il était gamin, histoire de se ressourcer avec sa famille.
En octobre 1968, il reçoit une lettre d’AJACCIO lui proposant de venir jouer au football en Corse. Mais à ce moment, il ne voulait pas quitter sa famille et préférait rester en Guadeloupe. Il se disait que s’il venait en France, ce serait pour faire son service militaire. Finalement, il quitte l’école plus tôt que prévu et se trouve à la recherche de travail, puis en avril 1969, il reçoit une nouvelle lettre d’AJACCIO qui insiste. Il prend alors contact avec les dirigeants de la JUVENTUS leur disant que s’ils lui trouvaient un emploi, il resterait en Guadeloupe. Il voulait suivre un stage pour être moniteur d’éducation physique. Il va attendre de longs mois, et au mois de juillet, n’ayant eu aucun retour de son club, et après avoir reçu une troisième lettre du club corse, il va décider de venir tenter sa chance à AJACCIO.
J'en profite pour taquiner un peu les fans vintage qui connaissent bien Marius TRESOR. Il aura un titre qui est inégalé, parce qu'il sera toujours le premier. Mais de quoi s'agit-il ?
Il commence sérieusement à jouer au football à l’âge de 15 ans en catégorie cadet à la Juventus Ste ANNE. L’entraîneur, Claude FARASMANE avait déjà jugé qu’il avait les qualités requises pour jouer en équipe première. Il jouait stoppeur.
Régulièrement, durant sa carrière que tout le monde connaît, il n'hésitera pas à revenir en Guadeloupe, jouer à la plage, comme quand il était gamin, histoire de se ressourcer avec sa famille.
En octobre 1968, il reçoit une lettre d’AJACCIO lui proposant de venir jouer au football en Corse. Mais à ce moment, il ne voulait pas quitter sa famille et préférait rester en Guadeloupe. Il se disait que s’il venait en France, ce serait pour faire son service militaire. Finalement, il quitte l’école plus tôt que prévu et se trouve à la recherche de travail, puis en avril 1969, il reçoit une nouvelle lettre d’AJACCIO qui insiste. Il prend alors contact avec les dirigeants de la JUVENTUS leur disant que s’ils lui trouvaient un emploi, il resterait en Guadeloupe. Il voulait suivre un stage pour être moniteur d’éducation physique. Il va attendre de longs mois, et au mois de juillet, n’ayant eu aucun retour de son club, et après avoir reçu une troisième lettre du club corse, il va décider de venir tenter sa chance à AJACCIO.
J'en profite pour taquiner un peu les fans vintage qui connaissent bien Marius TRESOR. Il aura un titre qui est inégalé, parce qu'il sera toujours le premier. Mais de quoi s'agit-il ?
Dès son arrivée, tout va aller très vite et 2 mois après son arrivée il va se retrouver avec les professionnels. Tout d’abord 2 fois remplaçant, face à VALENCIENNES puis face à ROUEN. Il fera ses vrais débuts contre METZ avec un entraîneur, Mr MURO qui lui fera totalement confiance. Il jouait stoppeur et avait au marquage un allemand TRIPP. Résultat 0-0.
AJACCIO c’est du bonheur. Il y restera jusqu’en 1972. C’est bien à l'AC AJACCIO, qu’il fera ses débuts en équipe de France. 4 mois après son arrivée en Corse, il jouera avec l’équipe de France Espoirs face à la NORVEGE, 4-4. Et le joueur que Marius avait au marquage a inscrit… 4 buts. Puis ce sera la Hongrie, puis la Bulgarie. Puis un peu plus tard il rejouera contre la Bulgarie mais cette fois-ci avec les A...
Georges BOULOGNE, sélectionneur est sur la sellette. Ce match à SOFIA, les bulgares sont démobilisés, ils sont éliminés quoi qu’il arrive. Et pourtant… l’équipe de France va jouer la sécurité et va perdre cette rencontre bêtement. "On ne peut que saluer le début impérial de l’ajaccien Marius TRESOR au poste d’arrière gauche" voilà ce que l'on retiendra. Lors de ce match, l’arrière droit, c’était Jean DJORKAEFF, c’est lui qui le mettra en confiance, un type épatant !
On le voit ci-dessus avant son 1er match.
AJACCIO c’est du bonheur. Il y restera jusqu’en 1972. C’est bien à l'AC AJACCIO, qu’il fera ses débuts en équipe de France. 4 mois après son arrivée en Corse, il jouera avec l’équipe de France Espoirs face à la NORVEGE, 4-4. Et le joueur que Marius avait au marquage a inscrit… 4 buts. Puis ce sera la Hongrie, puis la Bulgarie. Puis un peu plus tard il rejouera contre la Bulgarie mais cette fois-ci avec les A...
Georges BOULOGNE, sélectionneur est sur la sellette. Ce match à SOFIA, les bulgares sont démobilisés, ils sont éliminés quoi qu’il arrive. Et pourtant… l’équipe de France va jouer la sécurité et va perdre cette rencontre bêtement. "On ne peut que saluer le début impérial de l’ajaccien Marius TRESOR au poste d’arrière gauche" voilà ce que l'on retiendra. Lors de ce match, l’arrière droit, c’était Jean DJORKAEFF, c’est lui qui le mettra en confiance, un type épatant !
On le voit ci-dessus avant son 1er match.
Le 25 juin 1972, il est associé à Jean Pierre ADAMS en défense centrale face à l’Argentine lors de la Coupe de L’indépendance du BRESIL (photo ci-dessus).
De droite à gauche : REVELLI, MICHEL, ADAMS, BLANCHET, BERETA, MEZY, TRESOR, LECH, ROSTAGNI, CARNUS, DJORKAEFF.
L’équipe va s’épanouir loin de ses bases. Jean Pierre sera celui avec qui il se sera le mieux entendu. C’est avec beaucoup d’émotion dans sa voix qu’il évoque cette grande amitié. Il y avait une vraie complicité entre ces 2 joueurs. Une histoire qui avait commencé en championnat lors d’une rencontre AJACCIO – NIMES. Alors qu’ils étaient en train de se disputer pour un ballon, un joueur ajaccien a crié « Vas-y chope-la ». Alors ils se sont arrêtés, se sont regardés. Ils ont souri et Jean Pierre lui a dit : « Nous, mon gars, on ne mange pas de ce pain-là. ».
De droite à gauche : REVELLI, MICHEL, ADAMS, BLANCHET, BERETA, MEZY, TRESOR, LECH, ROSTAGNI, CARNUS, DJORKAEFF.
L’équipe va s’épanouir loin de ses bases. Jean Pierre sera celui avec qui il se sera le mieux entendu. C’est avec beaucoup d’émotion dans sa voix qu’il évoque cette grande amitié. Il y avait une vraie complicité entre ces 2 joueurs. Une histoire qui avait commencé en championnat lors d’une rencontre AJACCIO – NIMES. Alors qu’ils étaient en train de se disputer pour un ballon, un joueur ajaccien a crié « Vas-y chope-la ». Alors ils se sont arrêtés, se sont regardés. Ils ont souri et Jean Pierre lui a dit : « Nous, mon gars, on ne mange pas de ce pain-là. ».
Au retour de la mini Coupe du BRESIL en 1972, il avait demandé à Antoine FEDERICI, quel était son avenir. Il était bien en Corse, mais il avait entendu que plusieurs clubs étaient sur lui. Il demande alors une augmentation de salaire qui ne lui a pas été accordée. C’est alors que Mr GANEM, un dirigeant parisien lui conseille de ne pas reprendre l’entraînement. Bien sûr, Mr FEDERICI l’a très mal pris. Mais Marius avait pris sa décision, quitte à retourner en Guadeloupe. Il restera encore 2 mois à AJACCIO, puis ensuite il sera transférable. Mais à ce moment, on parlait de NICE ou du PARIS FC. Ben, finalement ce sera... MARSEILLE.
A MARSEILLE, il fallait rajeunir cette équipe. Il arrive dans un groupe ou il y a déjà SKOBLAR, CARNUS, MAGNUSSON et KEITA et le problème de 3 joueurs étrangers… au début, il va regretter de ne pas être parti à NICE qui se baladait dans le championnat. Puis à MARSEILLE, le libéro s’appelle Bernard BOSQUIER, mais il ne lui reste plus qu’une année de contrat, donc pourquoi pas... Mais voilà que ce dernier resigne pour 4 ans… pas cool.
Mais qui n’a pas rêvé de jouer avec SKOBLAR ou BOSQUIER ? Il verra plus tard JAIRZINHO et Paulo CEZAR.
A MARSEILLE, il fallait rajeunir cette équipe. Il arrive dans un groupe ou il y a déjà SKOBLAR, CARNUS, MAGNUSSON et KEITA et le problème de 3 joueurs étrangers… au début, il va regretter de ne pas être parti à NICE qui se baladait dans le championnat. Puis à MARSEILLE, le libéro s’appelle Bernard BOSQUIER, mais il ne lui reste plus qu’une année de contrat, donc pourquoi pas... Mais voilà que ce dernier resigne pour 4 ans… pas cool.
Mais qui n’a pas rêvé de jouer avec SKOBLAR ou BOSQUIER ? Il verra plus tard JAIRZINHO et Paulo CEZAR.
On le retrouve face à l’URSS, dans une rencontre éliminatoire de Coupe du Monde au côté de Claude QUITTET. Victoire 1-0 et Marius qui va tirer sur le poteau en toute fin de match. Mais ensuite, la France perd à DUBLIN 2-1 contre l’EIRE. Dur à digérer. Lors de la rencontre suivante face au Portugal, Georges BOULOGNE va aligner la fameuse garde noire TRESOR-ADAMS en défense centrale mais en face il y avait un certain EUSEBIO. Défaite 2-1. Finalement, l’équipe de France ne participera toujours pas à la prochaine Coupe du Monde.
Stefan KOVACS devient le nouvel entraîneur en août 1973, il fera appel aux jeunes.
A garder en mémoire l’un des plus beaux exploits des dernières années, la rencontre face à la TCHECOSLOVAQUIE avec Jean Marc GUILLOU. Au final 2-2, mais l’équipe de France aura montré un nouveau visage.
Face à l’Allemagne en octobre 1973, il marque son 1er but. GERD MULLER lui a posé beaucoup de problèmes. C’est lui qui marque les 2 buts victorieux de la MANNSCHAFT ce 13 octobre à GELSENKIRCHEN.
Mais voilà, à l’approche de la Coupe du Monde 1978, il va falloir se surpasser pour gagner sa sélection.
Vous ne rêvez pas, regardez bien cette photo ci-dessus, mais oui, c’est bien lui qui a le brassard de capitaine ! Vous avez la réponse à l'énigme du début...
Marius TRESOR sera le premier joueur "antillais" à porter le brassard de capitaine de l'équipe de France. Ce sera le 9 octobre 1976 face à la BULGARIE (résultat 2-2). Vous vous rappelez... Mr FOOTE !
Stefan KOVACS devient le nouvel entraîneur en août 1973, il fera appel aux jeunes.
A garder en mémoire l’un des plus beaux exploits des dernières années, la rencontre face à la TCHECOSLOVAQUIE avec Jean Marc GUILLOU. Au final 2-2, mais l’équipe de France aura montré un nouveau visage.
Face à l’Allemagne en octobre 1973, il marque son 1er but. GERD MULLER lui a posé beaucoup de problèmes. C’est lui qui marque les 2 buts victorieux de la MANNSCHAFT ce 13 octobre à GELSENKIRCHEN.
Mais voilà, à l’approche de la Coupe du Monde 1978, il va falloir se surpasser pour gagner sa sélection.
Vous ne rêvez pas, regardez bien cette photo ci-dessus, mais oui, c’est bien lui qui a le brassard de capitaine ! Vous avez la réponse à l'énigme du début...
Marius TRESOR sera le premier joueur "antillais" à porter le brassard de capitaine de l'équipe de France. Ce sera le 9 octobre 1976 face à la BULGARIE (résultat 2-2). Vous vous rappelez... Mr FOOTE !
1976, bien sûr cette année là tout le monde à MARSEILLE se souvient de cette victoire en Coupe de France face à LYON 2-0. Mais certains puristes se souviennent de cette qualification obtenue face au SCO ANGERS début mai en quart de finale ou il va passer toutes les vedettes de l’OM à la moulinette. Ce jour-là, il était partout, auteur d’un match ahurissant, colmatant toutes les brèches, coupant tous les centres, prenant toutes les balles de la tête, décourageant à lui-seul des adversaires déchaînés.
Ci-dessus une photo des vainqueurs de la Coupe.
En 1977, la situation à MARSEILLE est financièrement compliquée. Beaucoup de changement, dont l’arrivée de SKOBLAR au poste de dirigeant. Le club va éviter de peu la descente en D2. Si le club avait été relégué, Marius serait parti… au PSG.
A l’OM on compte sur les jeunes comme FLORES, BACCONIER ou encore LUTENBAKER. Une année compliquée pour Marius notamment suite à des blessures, une vraie traversée du désert.
Ci-dessus une photo des vainqueurs de la Coupe.
En 1977, la situation à MARSEILLE est financièrement compliquée. Beaucoup de changement, dont l’arrivée de SKOBLAR au poste de dirigeant. Le club va éviter de peu la descente en D2. Si le club avait été relégué, Marius serait parti… au PSG.
A l’OM on compte sur les jeunes comme FLORES, BACCONIER ou encore LUTENBAKER. Une année compliquée pour Marius notamment suite à des blessures, une vraie traversée du désert.
1977 - Avec l'équipe de France, il marque un superbe but lors de la rencontre amicale face au BRESIL. Il revenait d’une blessure qui l’a longtemps éloigné des terrains. Décourageant mais voilà, on le soignait pour une hernie alors qu’il s’agissait d’un déplacement du bassin. Marius avait tout simplement une jambe plus longue que l’autre. Encore eut-il fallu émettre le bon diagnostic !
Son plus beau but, tête en pleine lucarne, le but égalisateur à 5 minutes de la fin (photo ci-dessus). Sur un corner tiré par Olivier ROUYER, il saute plus haut qu’EDINHO, LEAO qui n’est pas sorti voit le ballon se loger dans la lucarne. Durant cette rencontre, une nouvelle fois il s’en sortira plus qu’honorablement dans son marquage avec ROBERTO. Et tout ça devant plus de 100000 spectateurs à MARACANA. Que du bonheur ! Après une telle performance, il était hors de question de passer à côté de la prochaine Coupe du Monde en Argentine.
Son plus beau but, tête en pleine lucarne, le but égalisateur à 5 minutes de la fin (photo ci-dessus). Sur un corner tiré par Olivier ROUYER, il saute plus haut qu’EDINHO, LEAO qui n’est pas sorti voit le ballon se loger dans la lucarne. Durant cette rencontre, une nouvelle fois il s’en sortira plus qu’honorablement dans son marquage avec ROBERTO. Et tout ça devant plus de 100000 spectateurs à MARACANA. Que du bonheur ! Après une telle performance, il était hors de question de passer à côté de la prochaine Coupe du Monde en Argentine.
1978 – C’est l’année de la Coupe du Monde en ARGENTINE. Mais vous connaissez la suite, la défaite face à l’Italie à MAR DEL PLATA, puis une seconde défaite face à l’ARGENTINE. Grosse déception, il va falloir digérer. Pour lui, bien sûr l’élimination trop rapide l’a rendu très amer mais de manière générale il estime que cette coupe n’a pas apporté de nouveautés dans le football moderne. Un peu déçu du niveau.
1978, et le retour à l’OM suite à la déconvenue en Argentine avec une nouvelle blessure en début de saison (peut-être une reprise trop tôt pour l’international). Mais pour le moment l’OM marque le pas et se trouve dans les profondeurs du classement. Pourtant dans cette équipe, il y a 3 attaquants de grand classe : Didier SIX, Marc BERDOLL et Sarr BOUBACAR. Mais l’OM joue en 4-4-2, il y en a un qui fait les frais… c’est BOUBA. Ca ne lui va pas à Marius, il ne partage pas forcément l’avis de MARKOVIC et de SKOBLAR à ce sujet.. Marius souhaite partir.
Le BAYERN est sur les rangs, mais désaccord, alors qu’il ne lui restait plus que 6 mois de contrat. En fin de saison, le club descend, il se fâche avec les dirigeants et quitte l’OM. Il souhaitait partir au BAYERN.
Après avoir ouvertement dit que les dirigeants marseillais avaient fait une erreur en se séparant de Victor ZWUNKA, il sera sanctionné, et passera la dernière rencontre face à BREST sur le banc. C’en était trop, trop de tensions aussi avec Bernard BOSQUIER.
Résultat, 1980, Claude BEZ le fait signer pour 1 an aux Girondins de BORDEAUX en 1980. Il se relance sous la houlette d’Aimé JACQUET.
1978, et le retour à l’OM suite à la déconvenue en Argentine avec une nouvelle blessure en début de saison (peut-être une reprise trop tôt pour l’international). Mais pour le moment l’OM marque le pas et se trouve dans les profondeurs du classement. Pourtant dans cette équipe, il y a 3 attaquants de grand classe : Didier SIX, Marc BERDOLL et Sarr BOUBACAR. Mais l’OM joue en 4-4-2, il y en a un qui fait les frais… c’est BOUBA. Ca ne lui va pas à Marius, il ne partage pas forcément l’avis de MARKOVIC et de SKOBLAR à ce sujet.. Marius souhaite partir.
Le BAYERN est sur les rangs, mais désaccord, alors qu’il ne lui restait plus que 6 mois de contrat. En fin de saison, le club descend, il se fâche avec les dirigeants et quitte l’OM. Il souhaitait partir au BAYERN.
Après avoir ouvertement dit que les dirigeants marseillais avaient fait une erreur en se séparant de Victor ZWUNKA, il sera sanctionné, et passera la dernière rencontre face à BREST sur le banc. C’en était trop, trop de tensions aussi avec Bernard BOSQUIER.
Résultat, 1980, Claude BEZ le fait signer pour 1 an aux Girondins de BORDEAUX en 1980. Il se relance sous la houlette d’Aimé JACQUET.
1980 – Avec l'équipe de France, Il va retrouver toutes ses sensations notamment lors de la rencontre face aux Pays Bas de part ses tacles, dans son placement, dans ses interventions défensives, il va impressionner les attaquants néerlandais par sa présence. Et Michel HIDALGO compte sur lui pour les matchs éliminatoires de la Coupe du Monde 1982.
Le 10.12.1981, face aux Pays Bas, il battra le record de sélection (à l’époque) de Roger MARCHE.
Puis arrive en 1982 la Coupe du Monde à SEVILLE.
On se souvient de ce superbe but face à l’Allemagne en demi-finale (ci-dessus). Mais pour lui cela reste un mauvais souvenir. Pour lui ce sera la plus grosse injustice. Nous sommes nombreux à pense comme lui. Ce qui est toujours étrange, dès que l'on évoque cette rencontre, le premier réflexe, c'est la sortie de SCHUMACHER face à BATTISTON et l'arbitrage que l'on peut qualifier de scandaleux. Le reste vient après, le parcours fabuleux de l'équipe de France, cette magnifique reprise de Marius...
Le 10.12.1981, face aux Pays Bas, il battra le record de sélection (à l’époque) de Roger MARCHE.
Puis arrive en 1982 la Coupe du Monde à SEVILLE.
On se souvient de ce superbe but face à l’Allemagne en demi-finale (ci-dessus). Mais pour lui cela reste un mauvais souvenir. Pour lui ce sera la plus grosse injustice. Nous sommes nombreux à pense comme lui. Ce qui est toujours étrange, dès que l'on évoque cette rencontre, le premier réflexe, c'est la sortie de SCHUMACHER face à BATTISTON et l'arbitrage que l'on peut qualifier de scandaleux. Le reste vient après, le parcours fabuleux de l'équipe de France, cette magnifique reprise de Marius...
A BORDEAUX, pour Marius, c'est un peu compliqué. Les blessures s'accumulent, problème de dos. On le revoit se prenant la tête entre les 2 mains lors d'un 16ème de finale de Coupe de France face à Lens ou il doit quitter le terrain après 15 minutes de jeu, victime d'un claquage à la cuisse. Ses malheurs vont le poursuivre jusqu'en 1984.
Il ne souhaite d'ailleurs plus être en équipe de France, il préférera retourner aux Antilles plutôt que de participer à un stage à Font romeu. Il termine difficilement sa dernière saison en jouant avec les juniors en D3. Il annoncera en mars 1984 sa fin de carrière.
Pour les fans bordelais, voici l'équipe version 1983-1984
Tout en haut : ROHR (qui se soucie complètement du photographe), THOUVENEL, SPECHT, TRESOR, BATTISTON, DOMENECH, TUSEAU
Au milieu : MICHELENA (Entraîneur), DELACHET, TIGANA, BOURDONCLE, GIRARD, MEMERING, ZENIER, RUFFIER, JACQUET (Entraîneur)
Assis : HANINI, LIPPINI, LACOMBE, GIRESSE, MULLER, MARTINEZ, AUDRAIN
Il ne souhaite d'ailleurs plus être en équipe de France, il préférera retourner aux Antilles plutôt que de participer à un stage à Font romeu. Il termine difficilement sa dernière saison en jouant avec les juniors en D3. Il annoncera en mars 1984 sa fin de carrière.
Pour les fans bordelais, voici l'équipe version 1983-1984
Tout en haut : ROHR (qui se soucie complètement du photographe), THOUVENEL, SPECHT, TRESOR, BATTISTON, DOMENECH, TUSEAU
Au milieu : MICHELENA (Entraîneur), DELACHET, TIGANA, BOURDONCLE, GIRARD, MEMERING, ZENIER, RUFFIER, JACQUET (Entraîneur)
Assis : HANINI, LIPPINI, LACOMBE, GIRESSE, MULLER, MARTINEZ, AUDRAIN
Le 14 juillet 1985 sera la fête nationale de Marius. A cette occasion, il va faire son jubilé !
C’est un mouvement de sympathie sans précédent qui va déboucher sur une manifestation prestigieuse à BORDEAUX et en direct sur TF1… malgré une date tardive et proche de la reprise du championnat, les clubs vont répondre présent avec l’équipe du VARIETES FC. MARIUS n’hésitera pas à reverser une partie de la recette à la famille de Jean Pierre ADAMS son ami, en hommage à son ami.
C’est la 2ème fois que l’on voit Marius pleurer… (la 1ère c’était cette foutue demi finale face à l’Allemagne).
Puis lors de la rencontre entre les Girondins de BORDEAUX et les anciens de l’équipe de France, il sortira à l’heure de jeu et comme un symbole, il va tendre sa main à son successeur, Maxime BOSSIS !
Et vous savez pourquoi Marius est aussi une référence ?
Durant toute sa carrière, aucun carton rouge, juste 2 cartons jaunes !
Voilà l’exemple que Marius va laisser au football français.
Un grand grand bravo à Mr TRESOR qui aura marqué la jeunesse de beaucoup de fan vintage, un grand monsieur.
C’est un mouvement de sympathie sans précédent qui va déboucher sur une manifestation prestigieuse à BORDEAUX et en direct sur TF1… malgré une date tardive et proche de la reprise du championnat, les clubs vont répondre présent avec l’équipe du VARIETES FC. MARIUS n’hésitera pas à reverser une partie de la recette à la famille de Jean Pierre ADAMS son ami, en hommage à son ami.
C’est la 2ème fois que l’on voit Marius pleurer… (la 1ère c’était cette foutue demi finale face à l’Allemagne).
Puis lors de la rencontre entre les Girondins de BORDEAUX et les anciens de l’équipe de France, il sortira à l’heure de jeu et comme un symbole, il va tendre sa main à son successeur, Maxime BOSSIS !
Et vous savez pourquoi Marius est aussi une référence ?
Durant toute sa carrière, aucun carton rouge, juste 2 cartons jaunes !
Voilà l’exemple que Marius va laisser au football français.
Un grand grand bravo à Mr TRESOR qui aura marqué la jeunesse de beaucoup de fan vintage, un grand monsieur.